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Apres "From Bedlam to Lename" et "Come 2 me" le duo italien revient avec "Twinkle Twinkle". Ce troisième album aux inspirations folk et blues est parsemé de titres aux influences allant des songwriters de l'Americana aux grands chanteurs napolitains. Un voyage porté par des gimmicks et des mélodies absorbants, où la délicatesse de la voix d'Ilaria tranche avec le jeu plus échauffé de Francesco à la guitare. La complicité naturelle du duo s'affiche partout, des nombreuses parties chantées à l'unisson à l’enchevêtrement de la guitare et du ukulélé. Elle donne un album aux airs de road-movie, qui transporte par son habile simplicité.
Francophone et francophile , Ilaria Graziano & Francesco Forni ont fait plus de soixante concerts en France depuis leurs debuts. Il était logique que Twinkle Twinkle contienne un titre en français: c'est chose faite avec "La Glace et la Neige"

Voici Cordéon Kaméléon, l’album emblématique de la longue carrière de René Lacaille, sorti en 2008, disparu dans un mauvais coup de vent économique. 10 ans après, et pour fêter ses 65 ans de scène, le Kaméléon de la musique Réunionnaise est heureux de vous le présenter à nouveau.
Cet album réunit ce que René Lacaille a de plus cher, les musiques qu’il aime, l’amitié et la famille. L’album réussit avec élégance cette fusion que René Lacaille représente et défend depuis toujours.
Avec les magnifiques Cyril Atef, Debashish et Subashish Bhattacharya, Bob Brozman, Edmundo Carneiro, Olivier Caron, Loran Dalo, Stéphane Daniélidès, Delfino, Yann Denèque, Loy Erlich, Pascal Futol, Aldo Guinart, Loïc Lantoine, Nils Mestre, André Minvielle, Nicolas Moucazambo, Thomas Ostroviecki, Samy Pageot-Waro, Alfonso Pacin, Denis Péan, François Pierron, Vincent Rioux, Vincent Ségal, Corinne Thuy Thuy, Danyèl Waro, avec les marmailles, Marco, Oriane et le neveu Yanis Lacaille.
Tout ce beau monde, René Lacaille n’a pas cessé de le croiser depuis et de le retrouver pour des rencontres sur scène ou dans la vie de tous les jours. Cet album lui offre l'occasion de partager avec vous ce moment de création inoubliable.
Cordéon Kaméléon a reçu le Grand Prix International de l’Académie Charles Cros 2009, prix de la Francophonie et prix Coup de Cœur.
« Dédié à mon vieux complice Bob Brozman »

Les Doigts de l’Homme nous offre un virage plein de force et d’accroches avec “Le coeur des vivants”.
Après 12 ans de tournées et de créations, l’équipe emblématique composée des trois guitaristes (Olivier
KIKTEFF, Benoît CONVERT, Yannick ALCOCER) et du contrebassiste (Tanguy BLUM) s’entoure cette fois-ci
du percussionniste (Nazim ALIOUCHE).
Comme pour le précédent album, un instrument inédit vient enrichir le spectre et les
possibilités des nouvelles compositions. L’attrait certain pour les musiques africaines et latines
concrétise le désir de longue date de faire évoluer le projet vers les musiques du monde.
Le cajon et les différentes percussions viennent diversifier, dynamiser et étoffer ce travail d’écriture
basé avant tout sur la mélodie des thèmes et des solos. Les rythmes sont plus marqués et soutiennent
une musique propre au groupe qui puise ses influences non plus uniquement dans le manouche, mais
dans bien d’autres horizons (balkans, afros, latins, orientaux, etc.). Cette richesse musicale révèle un
véritable accès global aux ressources créatives universelles à l’instar d’une ouverture complète sur le
monde.
Précurseurs d’un style bien défini, les mélodies, arrangements et thèmes sont facilement reconnaissables
et restent la marque de fabrique des Doigts de l’Homme. Les guitares manouches, le niveau
technique et la musicalité de chaque musicien procurent un son parfaitement identifiable quel que soit
le style abordé. C’est un travail sur le fil, entre le simple et le complexe, le léger et le dense.
Cette identité, construite depuis 2004 au long des 5 premiers albums et des 700 concerts à travers le
monde, repose sur le plaisir de créer et de jouer ensemble.
Une amitié, une fraternité visible et bien palpable confère à cette équipe le profil d’un véritable groupe.

La musique sait parfois nous surprendre, nous « cueillir», nous émouvoir jusqu’au tréfonds : Marian Badoi, sublime accordéoniste tzigane, musicien surdoué, fait surgir sous ses doigts la magie de l’une des plus belles musiques du Monde !…
Il forme le Marian Badoi Trio avec Olivier Kikteff, guitariste des «Doigts de l’Homme » et Tanguy Blum, contrebassiste du même groupe.
Le projet marie le Jazz Manouche avec l’authenticité Tzigane apportée par Marian et ses belles improvisations : des musiciens surdoués au service d’un projet fort et original. Car trop souvent aujourd’hui, on peine à retrouver la richesse de la musique de Django Reinhardt dans celles jouées par certains groupes de « Jazz Manouche », et surtout; nulle trace de l’âme tzigane qui était celle de Django.
Marian lui, a gardé son âme, et cet accordéoniste virtuose reste profondément attaché à ses racines roumaines.

Marian BADOI : Accordéon
Olivier KIKTEFF : Guitare, oud
Tanguy BLUM : Contrebasse

Fidèle à la guitare manouche, Les Doigts de L’Homme ne veulent pas se laisser enfermer dans le genre.Ils restent un groupe acoustique, sensible, équilibré, qui exprime sa différence en jouant ses propres compositions. C’est tout l’esprit de « Mumbo Jumbo », leur cinquième album. Le quartet à cordes s’est enrichi d’un accordéon, un instrument polyphonique – maîtrisé de belle manière par Antoine Girard – afin d’élargir son champ d’action. Ils ne sont pas 4 + 1 mais bien 5 à former un nouveau groupe auquel on peut d’ores et déjà prédire un avenir radieux.
L’esprit gypsy, synonyme de générosité et d’aventure, est bien là au sein de ce quintet, de ces cinq musiciens qui se complètent comme… les cinq doigts de la main. Ils nous emmènent pour un périple planétaire, entamé sur un rythme enlevé (Mumbo Jumbo) et bouclé sur une envolée poétique (Olé Léo, emprunté à Lionel Suarez). Leur univers, c’est celui de la rêverie (Caprice, œuvre de Benoît Convert), de l’insouciance, de la mélancolie, de la gravité même (avec Rage Against The Rom) qu’ils parcourent sur des sonorités aux accents tsiganes (bien sûr) mais aussi latins (Santa Cruz composition de Yannick Alcocer et le très brésilien Tudo Bem, signé Olivier Kikteff).
Avec « Mumbo Jumbo », Les Doigts de l’Homme confirment cette singularité attachante qui leur a gagné une place bien particulière dans la riche galaxie du jazz manouche. Mieux encore, ces cinq là forment un vrai groupe, homogène, qui s’impose comme une voix marquante et séduisante de la musique du monde.

Avec la sortie de ce 4ème opus, qui se veut « hommage » à Django Reinhardt dans le cadre du 100ème anniversaire de sa naissance, Les Doigts de l’Homme ont choisi de retourner aux sources de leurs inspirations. En proposant des compositions mais également de nouveaux arrangements et interprétations du répertoire de Django.

Ils replongent ainsi au coeur de leur passion, avec une approche plus spontanée, plus directe du style. Une volonté de retrouver l’essence même de cette musique manouche, de réaborder le style avec une plus grande expérience, avec une identité, un son et une griffe propre aux Doigts de l’Homme.

« Olivier Kikteff et Benoit Convert se baladent sur le manche avec une aisance stupéfiante. Si cette virtuosité attendue ne leur fait pas défaut, ‘ combien! elle ne constitue pas la raison principale de la réussite indéniable du disque, qui réside tout d’abord dans l’époustouflante complicité des deux musiciens alignant ensemble des phrasés vertigineux d’où un humour primesautier n’est pratiquement jamais absent… Les arrangements y trouvent des couleurs, des féeries, des scintillements qui font chavirer… Et puis choisir de mettre INDIFFÉRENCE de Tony Murena, témoigne d’un esprit et d’un goût qui confirment, s’il en était besoin, la classe de cet ensemble. » – Classica avril 2010

‘Technicité, identité et interprétation sont mis en valeur dans cet album ; Transmettre le style de Django sans le trahir, mais en se l’appropriant. Avec une personnalité comme la leur, ils vont à coup sûr faire vibrer l’âme du saint guiatriste et de ses futurs fans’. – Longueur d’Ondes Avril 2010-Johanna Turpeau

« Les doigts de l’homme ont réussi leur recentrage sur cette esthétique à la mode, parce qu’elle fait partie de leurs affinités (s)électives. On ne discute pas sur leurs choix, mais avec une musique immédiate, populaire, une interprétation sensible, ouverte au rêve et à l’imaginaire, malgré un tempo des plus rapides, les doigts de l’homme ont su déposer leur marque et imposer leur griffe dans un style très convoité. » - Les Dernières nouvelles du Jazz – Sophie Chabon – avril 2010

« Cet hommage à Django Reinhardt est bien sûr proposé à l’occasion du centième anniversaire de la naissance en 1910 au grand guitariste. Les Doigts de l’homme marque un retour aux fondamentaux et aux racines de leur art musical manouche qui s’exprime ici de la manière la plus directe, intense et inspirée qui soit. Une belle réussite. Avec Benoit Convert et Yanick Alcocer aux guitares et Tanguy Blum à la contrebasse. » - La Terrasse Mars 2010

« Une mécanique bien huilée, qui passe surtout par des arrangements de cordes très travaillés offrant une relecture souvent rafraîchissante, et parfois franchement inédite des morceaux. On adore ! Et surtout, avec deux solistes de cette trempe, on vous laisse imaginer la qualité d’échanges et des questions/réponses qui fusent sur tout l’album… «ça joue « monstrueux », mon frère, comme on dit…! Même s’ils ont déclaré sur un précédent disque qu’ils ‘n’iraient pas à Samois, les gars, on vous y attend quand même cette année. Et de pied ferme ! » – Djangostation mars 2010

Attention,premier album du combo TRANSGUNNER

Un mélange surpuissant d’electro rock disco à se procurer de toute urgence.

En attendant la sortie physique chez tous les bons disquaires, vous pouvez télécharger 5 titres à partir du 8 août sur toutes les bonnes plateformes.

« Un cocktail pétillant et détonnant, incisif et enjoué, qui gifle et caresse à la fois. Et le public en redemande ! Depuis trois ans, Transgunner a en effet multiplié les scènes, avec plus d’une centaine de concert à son actif……… le groupe s’apprête à sortir en octobre prochain son premier album de 12 titres intitulé « Très classe » ; tandis que le titre « Cocksucker Disco » qui circule activement sur la toile a déjà tout d’un tube ! À suivre et à écouter de toute urgence… » Regard Magazine Juin 2011

« …Emmené par le tubesque « Cocksucker Disco », l’album « Très Classe » des Transgunner est une petite tuerie. Des riffs électriques. Des titres efficaces et énergiques. De la nuance. Une réelle intelligence musicale. Trois belles gueules. L’insolence et l’impertinence de leur jeunesse. Rémi, Thibault et Julien semblent avoir trouvé là le cocktail idéal. Transgunner fait figure de nouvelle sensation rock, en tout cas leur musique ne laisse pas indifférent, et ça, c’est bon signe !…. » IDOLESMAG.COM sept 2011 – Article 860

« …TRANSGUNNER – Très Classe » (Lamastrock productions)
« …Dans ce power rock-disco électro, trois bébés bruns se la jouent très classe. Sérieux, sans être solennels, ils jouent quelque chose d’assez funky proche de l’accord perdu. A les écouter, on songe un instant aux Clash, à Franz Ferdinand, aux Jam, à Blur. Holà, doucement les basses ! D’accord on s’abandonne au tube disco Cocksucker Disco mais derrière faudrait calmer le jeu, stopper net la rumeur, éviter les comparaisons hâtives. Le groupe semble amusé de s’aventurer là où d’autres se sont déjà installés. Dignes représentants de la clean pop, les trois de Transgunner, à l’étroit dans leurs manœuvres courtoises (Back in town, Future is now…) assurent mélodies et harmonies pour tous les abonnés aux soirées parisiennes. C’est le moment de tout déraciner et de retourner faire du skateboard avec Mick Jones. De toute façon, vous avez toute l’éternité pour purger votre peine. » BVV Besançon ma ville sept 2011 – 70 000 ex – page 36

« TRANSGUNNER (France) » Très classe » (Lamastrock)
Contrairement à ce que l’on dit parfois, il est important de ne pas rester sur une première impression…surtout quand elle est mauvaise ou moyenne ! ! ! Une écoute de disque dépend aussi du contexte, qu’est-ce que l’on a écouté avant ? De la fatigue ? De l’énervement ? Journée mollusque ? » Très classe » n’est pas forcément le disque que j’écouterais en permanence mais je constate que finalement le groove m’a bien pris par le bas. Entre pop, post punk et musique de dance-floor, le groupe déploie tout un attirail revigorant, une musique flashy qui pétarade, dynamique et sans complexe dont chaque passage est un petit coup de pied au cul et dire qu’ils ne sont que trois ! ! ! Enfin on sait bien que c’est souvent dans ce contexte qu’on rencontre les musiques les plus vives d’esprit, la formule trio est un atout pour la scène et pour la concentration des efforts ! ! ! ! Mes passages préférés reste » 2036 unabomber revolution « , » Neon night riderz « , » Illviminati » mais plus globalement les 7 premiers titres sont excellents et vous plairont sûrement, on y rajoutera » J.E.R.K » pour la touche final… Je change d’avis…ça le fait ! »
CAFZIC-ODIBLOG.COM sept 2011.

Pour son deuxième album, grâce à la rencontre de nombreux musiciens Kady Diarra a fait évoluer ses compositions et ses arrangements de manière plus moderne, tout en gardant ses racines traditionnelles présentes . Dans un esprit d’ouverture, elle croise le balafon et les percussions des villages bobo avec des lignes de guitare et des sections cuivre afrobeat. Une guitare dobro rencontre le N’goni du chasseur au détour d’une incantation pour les disparus de la famille.
Dans ses textes, Kady , fidèle à la tradition des griots, joue un rôle social et conseille ses frères et soeurs africains pour leur vie quotidienne. Elle leur donne espoir dans l’avenir et rend hommage à ses ancêtres ainsi qu’à toutes les personnes qui comptent pour elle.
« L’ouvrage orchestral cisèle des bijoux, dont la jeune femme inspirée d’un territoire aux horizons déployés se pare. Rayonnante » Mondomix
« Un disque à la fois frais et très réussi » Batteur magazine
« Elle a enraciné de sa voix généreuse les traditions de son pays » Accordéon et accordéonistes
« Kady Diarra parvient à s’imposer comme le versant dansant de Rokia Traoré » Start Up
« Par ses rythmes et ses mélodies, ce disque va ensoleiller la fin de notre été et en prolonger la chaleur. » Cultzine
« Kady marie les chants traditionnels avec les riffs cuivrés de l’afrobeat et nous entraîne dans une polyculture qui va de l’esprit du griot aux revendications d’un Fela » La Marseillaise
« Un second album soigné avec des tempos dynamiques, un son travaillé pour avoir une vraie profondeur » Rfimusique.com

3ème album pour le trio devenu quartet, avec l’arrivée d’un nouveau guitar hero Benoit « Binouche » Convert. Les Doigts poussent encore plus loin les limites de leur style, avec un album très abouti, mariant le oud, le banjo, le cajon aux pompes manouches, dans un univers humoristique et inventif.



» Une formation de swing manouche entraînera les auditeurs sur des chemins musicaux encore inexplorés. Si la référence du groupe demeure sans contexte le hot club de France et son icône Django Reinhardt, des influences multiples, tour à tour arabisantes ou hispanisantes viennent enrichir le répertoire pour composer un paysage sonore particulier, gai et énergique » F.D – LA PROVENCE N° déc 2008

SAIL ON , c’est à la fois un hommage au titre de Fred MCDOWELL « Sail On Little Girl Sail On », que MArc-André Leger s’est complètement réapproprié et un retour sur son parcours parce qu’il n’a pas hésité à tout quitter pour vivre la vie dont il avait envie. 11 titres de pur blues colorisés à la sauce MAL, sans fioritures inutiles, plein de sa sincère admiration pour ceux qui ont fait l’histoire du blues. On y retrouve tout ce qu’on a aimé en live : l’énergie, l’authenticité du son, la sincérité dans les interprétations et surtout, un jeu de guitare exceptionnel et cette voix qui réchauffe.

« Marc- André Leger nous propose avec Sail On, un album acoustique rempli de versions personnelles de chansons traditionnelles mais aussi des reprises particulièrement habitées de titres de Robert Johnson, Willie Dixon, Fulton Allen et Louisiana Red, entre autres. Même si son domaine actuel est le Blues le plus roots et avec la plus grande simplicité ». guitare voix

« Les onze titres proposés ici sont d’une qualité et d’ une clarté sonores qui reflètent le parfait miroir de la simplicité et de la sincérité offertes par Marc -André Leger. Celui-ci nous propose un Blues authentique qui vient du cœur et qui fera chavirer le vôtre, de cœur. Car authentique est le cœur du Blues . frankie Blusy Pfeiffer N° Blues mag 01-2011

Après avoir été repéré par leur sublime reprise du ‘Poinçonneur des Lilas’ dans leur premier album, Les Doigts de l’homme décide de marquer leur territoire avec un album jazz rock manouche des plus décoiffant…

« Leur façon de jouer sur la performance et la vitesse d’exécution sans jamais se perdre dans le superflu, relève plus des traditions balkaniques.
Leur égal intérêt pour l’improvisation, la simple variation et l’arrangement imposé évoquent les groupes du rock avec lesquels ils ont en commun une énergie explosive parfaitement maîtrisée. .. » Franck Bergerot JAZZMAN mars 2006

« Mais la tuerie du mois, ce sont Les Doigts de L’Homme. La dextérité sidérante du trio emmené par Kikteff en véritable gratteur d’élite emprunte au Gipsy Jazz et au Rock manouche. Une inventivité et une énergie de tous les instants qui promet un live captivant » COCAZINE nov. 2006

CD 5 titres paru en 2005 , jamais commercialisé en vente exclusif sur ce site.
1-Métal Hurlant
2-Le boléro
3-El Camino de Lan Plufur
4-Môssieur Ducon
5-La Muchedumbre - Thème de la foule